Ronny TERIIPAIA, ministre de l’Éducation, a entamé, ce vendredi 30 août, sa tournée de visites des établissements du second degré à l’occasion de la rentrée scolaire 2024-2025.
Première étape du marathon ministériel, le Collège de Arue, où pour l’occasion Ronny TERIIPAIA était notamment accompagné de Teura IRITI, maire de la Ville de Arue, de Vahinetua TUAHU, 2ème adjoint au maire de Arue en charge du secteur éducatif, et de John TOROMONA, directeur général des services.
Accueillie chaleureusement par Wendy HAREA, principale de l’Établissement, ainsi qu’une poignée d’élèves, la petite délégation a ensuite procédé à la visite des nouveaux locaux du collège, qui pour cette nouvelle année scolaire accueille dans ses murs pas moins de 680 élèves.
Comme le souligne Wendy HAREA, « le collège de Arue est pour ainsi dire un collège où il fait bon étudier, et ce grâce à un climat scolaire serein, à la forte implication des parents d’élèves, et à un corps enseignant particulièrement dévoué à la réussite des élèves ». Et de préciser par ailleurs que, « l’attractivité de l’Établissement ne faiblit pas. Bien au contraire puisque nous devons faire face à un nombre toujours croissant de demandes de dérogation de famille résidant hors secteur ».
Lors de cette visite, le ministre Ronny TERIIPAIA s’est également entretenu avec les professeurs présents afin d’être pleinement sensibilisé sur les difficultés qu’ils rencontrent au quotidien dans l’exercice de leur mission. L’occasion en outre pour le corps enseignant d’exprimer les besoins de l’Établissement (futurs projets de construction ou de remise aux normes, achats de matériels scolaires, etc.) destinés à offrir aux élèves des outils et des espaces d’apprentissages fonctionnels.
Si le ministre de l’Éducation a tenu à féliciter l’ensemble de l’équipe pédagogique pour la bonne tenue de l’Établissement, il a néanmoins insisté sur le fait que « l’École, seule, ne peut pas tout faire. Et c’est la raison pour laquelle nous devons encourager tous les parents à devenir de vrais partenaires car ce sont eux les premiers éducateurs de nos enfants ».
