Le Vice-président de la Polynésie française, Teva Rohfritsch, a présidé, mardi après-midi, le Conseil d’administration de la Caisse de Soutien des Prix du Coprah (CSPC).

La culture du coprah constitue une source de revenus importante pour les populations des archipels éloignés, en particulier aux Tuamotu-Gambier. L’établissement public a pour but de soutenir les prix du coprah, afin notamment d’assurer des revenus stables aux coprahculteurs.

Le prix producteur s’établit à 140 Fcfp/kg pour le coprah de première qualité, et à 55 Fcfp/kg (tous les archipels, à l’exception des Marquises) et 65 Fcfp/kg (uniquement pour les Marquises) pour le coprah de seconde qualité. A titre prévisionnel, il est escompté une production de 13.000 tonnes en 2019.

Cette réunion du Conseil d’administration a été l’occasion d’approuver le budget modifié de l’établissement qui s’établit en recettes et en dépenses à 2,7 milliards Fcfp pour 2019.