Le président Edouard Fritch a pris connaissance, avec émotion et avec la plus grande satisfaction, de la décision de la chambre criminelle de la Cour de cassation d’annuler la condamnation de Pouvana’a a Oopa et de décharger sa mémoire.
C’est l’épilogue d’un long combat entamé par le Metua lui-même, puis par sa famille et tous ceux qui sont épris de justice.
Ce combat était devenu celui de l’ensemble des Polynésiens tant les faits historiques rapportés ces dernières années ont suffi à démontrer l’injustice commise.
Cette décision vient confirmer ce que pensait et disait Pouvana’a a Oopa : « la France est une grande Nation, et c’est pour cela qu’elle me rendra justice ». Le Metua peut désormais reposer en paix.